Pas (peu) dormi de samedi à dimanche.
Ai songé une bonne partie de la soirée puis de la nuit à tout abandonner, à fermer, crasher ce blog, à déchirer mes dessins, à jeter, brûler mes brouillons et mes cahiers, à vider, purger mes disques durs. Pourquoi continuer, à quoi bon écrire, tenter d'écrire, à quoi bon se creuser la tête, pourquoi (osons le mot) se torturer pour un résultat aussi faiblard ?
Puis, ne trouvant toujours pas le sommeil, j'ai trouvé deux trois raisons de continuer, de persévérer, d'écrire encore et de publier ma production. On ne se débarrasse pas de moi si aisément.
Mes nuits blanches, cher lecteur, ne te réussissent décidément pas...
Que j'aimerais être un bon écrivain (quoique cela signifie) et que mes lamentations, mes jérémiades quant à la piètre qualité de mes textes ne soient que de la fausse modestie.
Que j'aimerais être un bon écrivain (quoique cela signifie) et que mes lamentations, mes jérémiades quant à la piètre qualité de mes textes ne soient que de la fausse modestie.
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