On perçoit le mieux la supériorité du papier sur le traitement de texte et l'écran de l'ordinateur quand on n'a rien à écrire ou quand rien de bon ne vient à l'esprit.
En effet, on peut alors gribouiller la feuille blanche, la couvrir de petits dessins ridicules, la tâcher, la percer, la chiffonner, envoyer les boulettes formées dans la corbeille à papier dans un concours de lancers francs improvisé... rien de tel avec Word... à moins d'être prêt à sacrifier l'ordinateur lui-même, solution assez onéreuse, financièrement hors de portée pour l'écrivain moyen...
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