Je l’évoquais hier, Finnegan’s Wake. De James Joyce. Je crois que c’est exactement le livre que j’aimerais écrire, Finnegan’s Wake. Problème, je ne suis même pas capable de le lire et de le comprendre, Finnegan’s Wake.
On dit qu’un texte est différent en fonction du lecteur. Qu’un texte n’est pas unique mais multiple. Mouvant, en fonction de celui qui le lit. Ainsi donc, quand j’écris un texte, je n’en écris pas un mais au moins… si je compte mes lecteurs… pffffiou… cinq ou six… ça me rassure un peu sur ma productivité.
Ne touchez pas à mes brouillons qui traînent au sol. Le parquet lui aussi fait un très bon marque-page.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire