Avant l’expo d’hier matin à Giverny, je ne m’étais jamais demandé qui était Henri Martin, celui de l’avenue, celle du Monopoly.
J’ai été déçu, ce n’est pas le peintre.
Hier, à Villarceaux, j’ai appris un nouveau mot. Vertugadin. Je l’aurai oublié sous peu.
À genoux sur le prie-Dieu, j’implore l’aide du saint patron des rotuliers.
2 commentaires:
Henri Martin ? Celui qui a fait le coup ?
Le seul et l’unique
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