il faudrait
que je rentre du boulot la nuit tombante,
marchant le dos tourné à mes pas
qu’à midi ou un peu après, je commence à ravaler,
séquence palindromique, mes mots ante-méridiens,
que la brosse alors, quand je la passe sur le tableau noir - plutôt verdâtre -
réécrive ce qu’elle a effacé entre deux cours
que, le soleil couché,
je forme une tranche bien carrée, remplisse un pot plastique,
de ce que je sors de mon estomac
etc.
etc.
pour enfin cesser de briser la parfaite
mais où en est l’axe ? où en est le plan ?
symétrie du matin et du soir
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