Sur la route d’Aixe sur Vienne, les fourrures aplaties d’écureuils écrasés. Sur le bord de la route, le cadavre d’un chat ou d’un animal de même gabarit, passé sous les roues d’une voiture.
Et il faudrait ne pas être malheureux de se rendre au boulot.
Tous les matins sur la route d’Aixe, la Corsa se reflète dans les miroirs du radar automatique. Et tous les matins, j’ai, malgré moi, un doute : est-ce un reflet ou un flash ? ai-je franchi les 50 km/h autorisés ?
Surprise, peut-être, dans quelques jours, dans la boîte aux lettres.
J’avais peur, après dix ans sans toucher un volant, de conduire mal… mais non, c’est revenu assez vite… après dix jours ou presque, j’ai même pris pas mal de confiance… je me permets de mal conduire.
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