Pour avancer, progresser, en avoir l’impression du moins, dans le roman dont j’ai entrepris la rédaction il y a trois mois déjà, pour ne pas seulement accumuler, entasser brouillons et notes aussi informes qu’éparses, je me suis décidé à ouvrir un fichier word et à véritablement écrire, construire le texte. Jeudi, 17h00, j’en étais à une page complète. Vendredi 17h00, j’en étais aux deux tiers d’une page. À ce rythme…
Tous les soirs je pisse en direction du soleil. Et effectivement, il s’éteint.
Je prendrai donc ma retraite d’écrivain à 64 ans et non à 62. Tant mieux, ça me laisse un peu plus de temps pour fignoler mon texte. Merci, Manu.
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