Passer trois jours sur un texte à propos d’une banale promenade en forêt - l’auteur osait parler de randonnée — pour s’apercevoir, au bout de 4500 mots que ça ne menait à rien…
si ce n’est pas une façon de ne pas travailler à son roman, par peur de ne pas parvenir à le mener à terme, de la quantité de travail à fournir, de se retrouver avec une somme colossale de texte qui ne mène à rien…
Je dépose des bombes dans les lieux de culte de toute confession, de toute religion, sans distinction… je suis un athée roriste.
Au cours de ladite randonnée, hésiter de longues minutes devant une prairie fleurie, renoncer, revenir sur ses pas, repartir, revenir, finalement se décider, s’installer tant bien que mal, sortir ses gouaches et ses pinceaux… pour s’apercevoir que le Canson est resté à la maison.
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