Mon grand-père pesant au gramme près - disons à la pâte près - les spaghetti sur une balance recouverte, pour ne pas la salir, d’un sopalin puis commençant après cette opération de pesage, pas avant, à faire chauffer l’eau dans le fait-tout et, quand celle-ci salée se mettait finalement à bouillir, saisissant le faisceau de pâtes à deux mains pour casser les trop longues tiges en deux juste avant de les mettre à l’eau, retournant enfin l’un des sabliers à disposition, celui dont l’écoulement des grains correspondait à la durée de cuisson indiquée sur le paquet.
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