On ne pourra pas dire que je n’ai pas essayé, moi qui détestais ce sport en cours d’EPS au collège, j’ai regardé, puisqu’il semble que ce soit la mode en France, portée par les frères Lebrun qui portent mal leur nom puisqu’ils sont blonds-rouquins, à la tévé, le ping-pong.
Et je n’y comprends rien. Rien de rien. Je n’ai certes pas l’oreille très musicale. Absolue moins encore. Tout de même… je me concentre… je ferme les yeux - il paraît qu’on ouïe mieux ainsi - suivre les matches à la radio serait aussi intéressant, finalement… rien n’y fait… je ne parviens pas à distinguer le ping du pong… à mes très profanes - et peut-être même de très mauvaise foi - oreilles, chaque fois que la balle heurte la table, elle émet le même son. D’un côté et de l’autre.
Alors j’aimerais un indice, j’aimerais qu’on m’aiguille, qu’on me dise ce qu’il y a à savoir, qu’on me dévoile ce qui est caché… parfois, il suffit de connaître la solution pour la trouver évidente quand bien même on était incapable de la découvrir seul.
Alors, à qui le ping ? À qui le pong ? À celui qui sert ? À celui à droite de la table - en admettant qu’on la regarde côté arbitre ? À celui qui attaque ? À celui qui frappe le plus fort ? Au mieux classé ? Au plus grand ?
Et qu’on ne me parle pas de tennis de table - je ne céderai pas à cette facilité qui consiste à effacer les onomatopées.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire