Et puis, au bout d’un moment, chez le coiffeur, j’en ai juste assez, j’en ai marre. Alors quand arrive le moment du miroir tout autour de la tête, ça vous va ? je réponds oui, sans réfléchir, sans regarder, juste pour pouvoir partir, enfin partir.
Le vent soulève et disperse les feuilles mortes. On souffle dessus (avec une machine) pour en faire des tas.
Tabouret du cul.
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