Si le sol de mon bureau-atelier est jonché de brouillons, de pages de magazine découpées, de livres, de disques, de tubes de peinture, de stylos, pinceaux… ce n’est pas que je manque d’ordre. Si on ne peut plus mettre les pieds par terre, si c’est dangereux de s’aventurer dans ma pièce, c’est uniquement pour me forcer à planer au-dessus du sol. Ça ne fonctionne pas des masses : moi aussi je me casse la gueule en me déplaçant dans mon fatras.
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