Eric Chevillard, résidant dijonnais et écrivain qui a par ailleurs toute mon admiration, n'a, selon mes comptes personnels, jamais tant publié que lorsque j'habitais moi-même la capitale des Ducs de Bourgogne. Coïncidence ? Je ne pense pas...
Par exemple - je devrais dire pour preuve... accablante - le texte que j'ai écrit la semaine dernière, et que j'ai intitulé "La visite à l'expo" a été plagié par anticipation (et à cinq reprises !) par Eric Chevillard dans son recueil Péloponnèse (Fata Morgana, 2013) sous le(s) titre(s) "La visite au musée (1)", "La visite au musée (2)", "La visite au musée (3)", "La visite au musée (4)" et ... "La visite au musée (5)".
A part une plus grande fluidité du texte (grâce, notamment, à un renoncement aux digressions inutiles), une imagination débordante pour multiplier les situations comiques et cinq ou six ans d'avance sur mon texte, quel est son mérite ?
A part une plus grande fluidité du texte (grâce, notamment, à un renoncement aux digressions inutiles), une imagination débordante pour multiplier les situations comiques et cinq ou six ans d'avance sur mon texte, quel est son mérite ?
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