On aime à penser que les amateurs de ce noble sport qu'est la Roulette Russe sont des gentlemen, qu'ils ont le fair play chevillé au corps, qu'ils respectent les idéaux d'équité et d'égalité des compétiteurs lors des tournois auxquels ils participent. C'est malheureusement se bercer d'illusions. La Roulette Russe n'est, pas plus que les autres sports, épargnée par le fléau du dopage.
On a déjà vu des licenciés ivres ou défoncés ou gavés de bêta bloquant tenter de prendre part à des compétitions de Roulette Russe. C'est évidemment interdit. La peur fait partie du jeu. L'inhiber par une méthode artificielle est donc une triche.
D'autres athlètes, plus subtils, pour se libérer de la peur d'appuyer sur la gâchette, s'injectent avant les compétitions des poisons auxquels on ne connaît d'antidote (ou des maladies mortelles incurables, cela revient au même) provoquant des douleurs insoutenables. Le protocole affiche cependant ses limites en compétition puisque l'athlète qui le suit est finalement déçu lorsqu'il l'emporte...
Enfin, on signalera le cas de cet athlète qui, tous les jours, ingurgitait une petite quantité de plomb. Il espérait ainsi, par mithridatisation, y devenir peu à peu insensible, s'immuniser et survivre à une éventuelle absorption massive de ce métal. Le jour où il a perdu, des balles sans plomb étaient utilisées. On ne saura jamais si son protocole était efficace.
On a déjà vu des licenciés ivres ou défoncés ou gavés de bêta bloquant tenter de prendre part à des compétitions de Roulette Russe. C'est évidemment interdit. La peur fait partie du jeu. L'inhiber par une méthode artificielle est donc une triche.
D'autres athlètes, plus subtils, pour se libérer de la peur d'appuyer sur la gâchette, s'injectent avant les compétitions des poisons auxquels on ne connaît d'antidote (ou des maladies mortelles incurables, cela revient au même) provoquant des douleurs insoutenables. Le protocole affiche cependant ses limites en compétition puisque l'athlète qui le suit est finalement déçu lorsqu'il l'emporte...
Enfin, on signalera le cas de cet athlète qui, tous les jours, ingurgitait une petite quantité de plomb. Il espérait ainsi, par mithridatisation, y devenir peu à peu insensible, s'immuniser et survivre à une éventuelle absorption massive de ce métal. Le jour où il a perdu, des balles sans plomb étaient utilisées. On ne saura jamais si son protocole était efficace.
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