Voici donc résolue l’affaire de la chemisette jaune... C’est maintenant que je découvre que cette chemisette que j’ai jetée à la baille dans un ancien numéro de En Retard était un polo. Je t’ai fait croire, cher lecteur, il y a bien longtemps, que je ne me rendrai jamais compte que cette absurde chemisette - pourquoi me serais-je acheté une chemisette ? je hais les chemisettes, encore plus si elles sont portées avec une cravate, presque autant que je hais les chaussures sans lacet - abandonnée au fleuve est un polo. Et tu m’as cru. Tu l’as accepté. Tu m’as regardé traverser Paris torse-poil puis vêtu d’un sac poubelle puis avec un gilet de sécurité fluo. Sans t’étonner. Tout ceci n’était destiné qu’à détourner ton attention de cette affaire de polo et de chemisette. Tout était prévu depuis le début. Je me suis joué de toi. J’ai bien ri. Content de t’avoir si bien manipulé.
Oui, j’ai bien ri... et, à présent, la nostalgie me rattrape. Maintenant que le principal suspens de ce « texte » - me rendrai-je compte que ma chemisette était en réalité un polo ? - est éventé, il ne me reste plus qu’à achever ce feuilleton. Le plus vite sera le mieux. Voilà, c’est (bientôt) fini.
Oui, j’ai bien ri... et, à présent, la nostalgie me rattrape. Maintenant que le principal suspens de ce « texte » - me rendrai-je compte que ma chemisette était en réalité un polo ? - est éventé, il ne me reste plus qu’à achever ce feuilleton. Le plus vite sera le mieux. Voilà, c’est (bientôt) fini.
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