Il suffit que je décide d’arrêter ce blog (ainsi que Disco 1950) définitivement - mon intention n’était nullement de faire une pause mais bien de jeter l’éponge... ce n’était pas du chiqué - pour que les statistiques s’envolent : je n’ai jamais eu autant de visites que sur ces trois, quatre derniers jours.
Dois-je en conclure que j’avais raison, qu’il valait mieux que je m’arrête, que je cesse d’écrire ? que mon silence est plus attrayant que mes billets ? que mes non-lecteurs sont plus enthousiastes que mes lecteurs ?
Continuer à faire, me sentir mauvais et en souffrir ou me sentir mauvais de ne pas continuer à faire et en souffrir, voilà le choix qui se présentait à moi. Après trois, quatre jours de réflexion, j’ai décidé d’accepter de souffrir.
2 commentaires:
Nous aussi, on a souffert de ton silence...
Une vedette se doit à ses fans...
Je ne suis certainement pas une vedette... et ne veux surtout pas en être une...
Quant à mes « fans », qu’ils ne s’illusionnent pas, je ne me préoccupe pas de leurs états d’âme, j’ai déjà bien trop à faire avec les miens...
Enregistrer un commentaire