Je hais tout ce qui m’empêche d’écrire. La plupart du temps, je me déteste moi-même.
Lundi soir, en quittant notre emplacement préféré (notre spot) au bord du lac de Vassivière, tout était propre, nickel. Mercredi matin, en arrivant au même endroit, des restes de fête : une culotte (sale), un soutien-gorge (tout aussi sale) et d’autres éléments que je préfère passer sous silence mais que vous pouvez deviner. J’étais dégoûté…
… j’ai raté la partie fine pour quelques heures… d’avance ou de retard, je ne sais même pas.
Certains jours, je suis morose. D’autres, plutôt mots bleus.
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