Plutôt que Kafka, j’ai finalement décidé de traduire Goethe dans la langue de Molière.
Mon premier chantier ? Le Werther malgré lui.
Décidément à contre-courant, j’invente la nage en marche-arrière.
Attendre que les tranches de pain de mie se toastent, les beurrer patiemment, sur l’intégralité de la surface, puis les avaler en trois, quatre bouchées.
S’il n’y avait le café brûlant que je ne peux boire qu’à petites gorgées, le petit déjeuner lui-même n’échapperait pas à la règle selon laquelle on passe plus de temps à préparer un repas qu’à table, à en profiter.
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