Je n’en suis par encore à la moitié de Marelle - en suis-je au quart, au tiers, au trois huitièmes ou septièmes ? comment savoir ? c’est un roman qui ne se lit pas dans l’ordre (comme les livres dont vous êtes le héros que nous lisions, pré-ado, a fait remarquer Natacha) - de Julio Cortázar mais ce qui est certain c’est qu’il y a une bonne résolution du début d’année que je tiens toujours…
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
La réponse est simple. Parce qu’à tout problème, compliqué ou non, la solution la plus simple est une des plus compliquées à trouver. Simplifier son propos est une tâche qui demande du temps, une tâche compliquée.
Et moi, j’aime les choses simples. Donc je fais compliqué.
Julio Cortázar, encore un écrivain argentin exilé en France…
Et moi qui rêve de remplir un sac à dos de quelques vêtements de rechange et d’un ou deux cahiers, d’enfiler de bonnes chaussures de marche et de partir, à pied, pour Buenos Aires…
J’en entends, j’en vois qui ricanent… gnagnagna, ce n’est possible de rejoindre Buenos Aires à pied…
… certes… mais je ne m’interdis pas non plus de faire un peu d’auto-stop.
PS : K est la onzième lettre de l’alphabet.
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