vendredi 28 janvier 2022

Non développé non rédigé

écrit le 25/01 vers 7h00 - corrections mineures en recopiant le 28/01 à 15h20


Je me suis réveillé ce matin cette nuit vers 4h15. Je ne sais pas ce qui m’a réveillé. L’envie de pisser ou ce rêve étrange dans lequel je jouais au handball contre d’anciens élèves - je me souviens avoir lutté dans le match pour le ballon avec Po-ly-mnie (NDA : j’ajoute des tirets pour que les prénoms cités dans ces lignes ne permettent pas de tomber sur ce blog avec un moteur de recherche) quel prénom à la con, j’ai sa sœur en classe actuellement, Clé-o-vée, ce n’est guère mieux - c’était au moins un 15 contre 15 ou un 20 contre 20, il y avait plein de monde sur le terrain et, évidemment, comme dans tout rêve étrange, j’étais nu, j’étais le seul à jouer nu mais comme je faisais gagner mon équipe, marquant but sur but, je ne prenais pas le temps d’aller chercher mon caleçon sur le bord du terrain.
Toujours est-il que le rêve s’est arrêté et que je me suis levé pour pisser vers 4h20. Puis me suis recouché. Je ne me suis pas rendormi de suite. Loin de là. J’ai tourné dans le lit. J’ai cherché une la position. Sur le dos, sur le ventre, sur un côté puis l’autre. Retour sur le ventre.
Et là, je me suis mis à entendre une sorte d’horloge. Un mécanisme - plutôt électrique, électromécanique que purement mécanique - qui tournait et un clic toutes les secondes (estimation au doigt mouillé). Problème, cependant, nous n’avons pas d’horloge à la maison. Tous nos affichages de l’heure sont purement électroniques. Digitaux. D’où venait ce bruit ? Le compteur ? Le Linky nouvellement installé ?

Je n’osai me relever, je savais que le bruit cesserait ou que le bruit de mes pas sur le parquet couvrirait totalement ce bruit secondé.


écrit le 26/01 vers 17h30


* Éric Chevillard dans l’Autofictif (billet du 21/01) me revient à l’esprit :

M’insupportent les récits de rêve dans les romans, et pourquoi pas aussi des punaises de lit ! Aussitôt c’est moi qui bâille et ronfle. C’est comme - quoiqu’exactement le contraire - se cogner à un mur alors que l’on est déjà dans le réel.

* Je me lève, ne trouve aucune horloge. Aucune source pour ce bruit d’horloge. Me recouche de nouveau. Je ne l’entends, ce bruit d’horloge, que dans certaines positions. Comme si je l’étouffais le son, quand je suis allongé sur le ventre. Le son viendrait-il de moi ? De mon intérieur ? Serait-ce mon horloge interne que j’entends ? Et elle serait électrique ou électromécanique ? Ne serais-je pas complètement et entièrement organique ? Serais-je bionique ?

* Rêver d’être nu. Cliché - bien que mon rêve était vrai, je ne l’ai pas inventé. Mais cette fois, il n’y avait aucune gêne. D’ailleurs ça semblait naturel à tous les joueurs, aucun ne semblait étonné que je me sois déshabillé pour entrer sur le terrain.

Aucun commentaire: