Retour à Guimet, hier dimanche.
Dans le Transilien, de nouveau, un crobard suprématiste :
Carnet de Croquis
Et de nouveau, une vue du wagon dans lequel nous voyagions vers La Défense.
Carnet de Croquis
Il faut croire qu’avec les verres, les trains, leur intérieur, sont une de mes sujets de gribouillis préférés. Ça ne date pas d’hier…
Déception en arrivant à Guimet. Énorme déception. Nous le sommes le premier dimanche du mois. Journée de gratuité. Entrée gratuite. Et donc, le monde, beaucoup de monde. Avec des gosses. Qui crient. Hurlent. Pleurent. Stridentent. Courent. Vont en tout sens. Sont laids. Baveux. Morveux. Ont les mains sales.
Mais ce n’est pas ça le pire. Pas le plus grave. Non le plus grave, c’est la gratuité en elle-même. Pourquoi étions-nous revenus à Guimet huit jours à peine après notre précédente ? Parce que les billets d’entrée à Guimet sont valables pour deux visites dans les deux semaines. Deux visites. On voulait optimiser le prix payé par Natacha - c’est toujours gratuit pour moi. Et cette gratuité nous a empêché de réutiliser le billet de Natacha.
La gratuité quand on a déjà payé - on se croirait dans la chanson de la folle canadienne, pas la Céline, l’autre - il n’y a rien de plus énervant, on se sent volé floué arnaqué.
Dans Guimet, nouvelle photo abstractisante.
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