À la plage, aux Sables d’Olonne, à Plouharnel ou à Fouras par exemple, nous revenons les chaussettes pleines de sable.
Comment se fait-il qu’à Étretat ou à Fécamp nous ne revenions pas comme la logique devrait l’imposer les chaussettes pleines de galets ?
Quand j’étais gamin, petit garçon, la colle, certaine colle, avait une odeur qui donnait envie d’en manger
- et j’en ai je crois effectivement mangé.
Aujourd’hui, c’est l’odeur de la gouache qui me donne envie de m’en mettre plein la bouche
- mais je n’ose… j’ai peur qu’il me reste du bleu ou du orange entre les dents.
Nous étions ravis hier sur la plage d’Étretat (2h20 aller, 2h20 sur place, 2h20 retour, 7 heures parfaitement optimisées) : nous avons réussi à avoir froid.
Notre escapade maritime n’a malheureusement pas réussi à rafraîchir notre soirée versaillaise.
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