Récolte littorale toujours, Anaïs tient absolument à me montrer les coquillages qu’elle a ramassés sur la plage pour en faire des bijoux une fois rentrée en Charente (est-ce en Creuse ? j’ai un doute). Elle me prévient, ça sent un peu, elle les conserve dans une chaussette sale (quelle idée). Effectivement ça pue… mais pas des pieds… à peine a-t-elle vidé le contenu de sa chaussette sur le sol que je comprends le problème. Ce coquillage qu’elle trouvait particulièrement joli et original n’en est pas un… mais plusieurs… elle ne connaissait pas Crepidula Fornicata, encore surnommé il y a quelques années « pédé ». La coquille du dessous est certes vide… mais les quatre du dessus sont encore (à peu près) vivants, ce qui assure la jointure entre les individus… et l’odeur de marée… vite, ramène ça à la flotte avant d’empester toute ta valise…
C’était hier la Sainte Larissa. Nous n’avons pas mangé de couscous.
Je croyais que ça n’existait plus ces petits avions / planeurs en polystyrène que mon grand-père m’achetait quand j’étais gamin. J’en ai trouvé à la Batterie de Merville, deux euros pièce. Je ne me suis pas fait prier pour le retour en enfance.
Je regrette de ne pas avoir craqué pour la maquette du Pegasus Bridge. Depuis combien de temps n’ai-je pas pratiqué le modélisme ?
J’ai trouvé également, à Ouistreham, un blason adhésif de la ville… mais pas à Bayeux. Étrange comme ces blasons sont faciles à trouver dans certaines villes et difficiles dans d’autres. À la maison, je n’ai pas encore remis la main sur le cahier dans lequel je les colle. La dernière fois que je l’ai complété, ce cahier, c’était en rentrant du Pays Basque.
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