Une prof se plaint que sa salle a été renommée. Renumérotée. Elle a fait toute sa carrière (sic) en salle 213. Celle-ci pendant l’été est devenue la 210. Elle en rigole « je ne me sens plus chez moi, hi, hi hi » mais on sent que c’est un drame. On a les problèmes qu’on mérite. Elle en a parlé au proviseur, soi-disant sur le ton de la plaisanterie, mais ça a déclenché une enquête, comment, pourquoi cette salle a été dé- / re- baptisée ? Le nécessaire devrait être fait pour que la 210 redevienne la 213.
Finalement mon TOC n’est pas si sérieux si je compare à la maladie de certains… mais sont-ils contagieux ? Dois-je fuir avant que mon cas s’aggrave ?
Débat (dont je me tiens à l’écart) en salle des profs du lycée. Je ne sais qui (un autre prof ?) a dit à un élève qui venait de péniblement achever Les Misérables de ce bon vieux Victor que, s’il n’aimait pas ce roman alors il n’aimerait jamais la littérature. Les avis divergent peu - ce n’est pas vraiment un débat, donc - ce n’est pas quelque chose à dire à un ado qui a enfin décollé son nez des mangas… ce n’est pas bienveillant… à la rigueur, sur le ton de la plaisanterie, en prenant moult précautions… mais il vaut mieux éviter ce type de petites humiliations…
Finalement, quelqu’un ose dire que c’est surtout très con, comme remarque… qu’on peut aimer la littérature et ne pas aimer Les Misérables. Ouf, une personne sensée.
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