Je m'étonne qu'au milieu de toutes les revendications actuelles, certes légitimes (bien qu'elles ne concernent en général que cette minorité de feignasses que sont les fonctionnaires et autres assistés vivant d'allocations), n'ait émergée une exigence qui me semble plus urgente : l'abolition du 29 février.
Car, enfin, je viens de consulter mon calendrier et, cette année encore, comme tous les quatre ans, on nous a allongé le mois de février d'une journée. Sans contrepartie, évidemment. Même pas d'heure supplémentaires. Et personne pour se plaindre ?
On me répondra, je les connais ces politiques et ces grands patrons, que le 29 février tombe cette année un samedi, jour chômé pour la plupart des gens. C'est pire encore ! Ni vu ni connu, on transforme un jour de repos en journée qui n'existe que tous les quatre ans... nous prendrait-on pour des imbéciles ?
J'exige donc que le 29 février soit compensé par un jour férié supplémentaire en 2020. Je propose le 22 septembre prochain.
Car, enfin, je viens de consulter mon calendrier et, cette année encore, comme tous les quatre ans, on nous a allongé le mois de février d'une journée. Sans contrepartie, évidemment. Même pas d'heure supplémentaires. Et personne pour se plaindre ?
On me répondra, je les connais ces politiques et ces grands patrons, que le 29 février tombe cette année un samedi, jour chômé pour la plupart des gens. C'est pire encore ! Ni vu ni connu, on transforme un jour de repos en journée qui n'existe que tous les quatre ans... nous prendrait-on pour des imbéciles ?
J'exige donc que le 29 février soit compensé par un jour férié supplémentaire en 2020. Je propose le 22 septembre prochain.
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