Je suis à Monoprix, la veille de partir en vacances, au rayon papeterie / magazines / librairie.
Sans vraiment regarder les présentoirs où sont proposés les quelques rares bouquins à la vente, j’aperçois un livre, un roman, qui me parait parfait pour mon séjour breton. Je lis la quatrième de couverture et l’incipit. Impression confirmée. Le roman idéal pour les vacances.
Je m’apprête à l’ajouter à mon panier (pour l’instant vide) quand je réalise que ce n’est pas l’endroit pour un tel achat : on n’achète pas ses romans, même ceux pour les vacances, au supermarché ! Arrêtons de sacrifier les petits commerces à la grande distribution...
Je repose donc le bouquin dans son rayonnage et me rends dans la gare la plus proche.
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