Plus on a de temps disponible devant soi, plus on est en retard... c’est bien connu... c’est une sorte de corollaire à loi de Murphy (également connue sous le nom de loi de l’emmerdement maximum), à moins que ça n’en soit (c’est moche comme formulation, non ?) une espèce de réciproque ou encore, option non négligeable vu mon présent taux d’alcoolémie, que ça n’aie absolument rien à voir...
Tout ceci pour dire qu’en cette période de confinement, je devrais avoir tout le temps d’avancer sur En Retard, je devrais pouvoir m’y prendre à l’avance, ne pas me contenter d’y réfléchir comme le reste du temps (lorsque je « travaille » (notez les guillemets)), le vendredi après-midi pour le samedi et le samedi soir pour le dimanche... mais non... il est dimanche 16h00 et je commence à peine à me demander comment je vais organiser la suite des événements...
Et là, je bloque un peu... comprenez, je suis en train de me faire refaire le portrait par les CRS=SS et j’ai prévu pour la suite de déplacer le combat à l’Arc de Triomphe (souvenez-vous, dans un numéro précédent, on m’a fait revêtir un gilet jaune, l’allusion n’est pas subtile)... avant de finir la journée dans un bar qui sera la théâtre d’une gigantesque beuverie (on va s’en boire, des petits jaunes)...
Cependant, cet ensemble de péripéties va me prendre plus d’un numéro... et je ne sais où couper l’action... car je dois la couper, l’action...
En effet, il n’y aura pas de En Retard le week-end prochain. Ni le week-end d’après, possiblement... je ne sais encore... Pourquoi ? Parce que, dans les jours qui viennent, je vais vous proposer un texte (deux, à vrai dire, qui s’enchaînent et qui, d’une certaine façon, n’en forment plus qu’un) qui me tient particulièrement à cœur et qui va prendre 5 ou 7 ou 10 ou 20 numéros (je n’ai pas encore procédé au découpage) et que je refuse catégoriquement d’interrompre...
Je suis donc en plein doute, je ne sais comment poursuivre aujourd’hui...
Dans le doute, abstiens-toi, dit le proverbe... dont acte...
Et là, je bloque un peu... comprenez, je suis en train de me faire refaire le portrait par les CRS=SS et j’ai prévu pour la suite de déplacer le combat à l’Arc de Triomphe (souvenez-vous, dans un numéro précédent, on m’a fait revêtir un gilet jaune, l’allusion n’est pas subtile)... avant de finir la journée dans un bar qui sera la théâtre d’une gigantesque beuverie (on va s’en boire, des petits jaunes)...
Cependant, cet ensemble de péripéties va me prendre plus d’un numéro... et je ne sais où couper l’action... car je dois la couper, l’action...
En effet, il n’y aura pas de En Retard le week-end prochain. Ni le week-end d’après, possiblement... je ne sais encore... Pourquoi ? Parce que, dans les jours qui viennent, je vais vous proposer un texte (deux, à vrai dire, qui s’enchaînent et qui, d’une certaine façon, n’en forment plus qu’un) qui me tient particulièrement à cœur et qui va prendre 5 ou 7 ou 10 ou 20 numéros (je n’ai pas encore procédé au découpage) et que je refuse catégoriquement d’interrompre...
Je suis donc en plein doute, je ne sais comment poursuivre aujourd’hui...
Dans le doute, abstiens-toi, dit le proverbe... dont acte...
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