C’est dommage cette fermeture des librairies... on ne va pas pouvoir acheter les journaux de confinement écrits au printemps dernier par des centaines d’auteurs (plus ou moins amateurs) qui ont cru bon de noircir du papier pour s’occuper pendant leur période d’enfermement.
D’un autre côté, vu que, pendant ce nouveau confinement, la plupart des gens continuent d’aller bosser, on n’aurait de toute façon pas eu le temps de les lire, ces journaux de confinement.
Quant à ceux qui s’étaient découverts une vocation d’écrivain en pondant leur journal de confinement, il va falloir qu’ils se trouvent vite un nouveau sujet. Les journaux de reconfinement ne vont en effet attirer personne : ce qu’on attend d’une suite, c’est de la surenchère... c’est mal parti...
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