Même s’il est impropre, j’utilise le mot pied plutôt que syllabe pour parler de l’unité rythmique de base en poésie. L’exactitude du vocabulaire est moins importante à mes yeux que les possibilités qu’offre un mot.
Ainsi, quand j’essaye d’écrire des sornets (mot valise formé sur sonnets et sornettes), je compte, comme un enfant, mes pieds (et non mes syllabes) sur mes doigts...
Dans l’histoire, j’ai perdu la flamme mais gagné un sobriquet.
...et je n’en ai que deux.
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