Les gens dont on ne remarque pas la présence.
Les gens dont on ne remarque pas l’absence.
Ce ne sont pas forcément les mêmes.
Je ne sais pas lesquels j’envie le plus.
Il y a des fois, d’autres non, où j’aime l’odeur de la pluie qui tombe.
Il y a des fois, d’autres non, où j’ai envie d’aller me promener sous la pluie qui tombe.
J’aime le son de la pluie sur les toits chaque fois qu’elle tombe.
Il y a aussi les livres de poche qu’on a trouvés renversants, merveilleux et dont on profite de se débarrasser lors du déménagement. Les poches, c’est moche, on achètera des vrais livres, de beaux volumes : ces romans, ces recueils le méritent bien (exemple : les œuvres complètes de Roberto Bolaño).
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