Il n'a pas échappé à mon lectorat, certes peu nombreux mais d'autant plus assidu - les visiteurs d'Archives MLM ne peuvent être que des admirateurs transis de mon œuvre - que les paragraphes précédents constituaient un auto-plagiat d'une des parties les plus réussies - ou les moins ratées, c'est selon - de La Montre.
C'est déjà la seconde fois en quelques numéros de En Retard que je signale - l'honnêteté est la première des exigences que je m'impose - une réutilisation de La Montre. Et c'est sans compter les références directes au texte que j'y glisse de temps à autre. Faut-il dès lors voir dans En Retard une tentative pure et simple de réécriture de ce texte pourtant officiellement laissé de côté il y a quelques mois déjà ?
Ce serait mal comprendre le concept de En Retard. J'expliquerai - ou non - le moment venu - ou un peu après ; pas avant - comment En Retard a débuté, comment je l'ai commencé, où j'ai puisé les idées qui m'ont donné envie de l'écrire, comment le texte puis le projet lui-même s'est trouvé modifié au fur et à mesure de son avancement. Tout cela n'a pas d'importance pour l'instant. En Retard est tout simplement un texte qui doit avancer, aller de l'avant, quelques soient les obstacles - le principal de ces obstacles étant, évidemment, le manque de temps - qui s'opposent à cette marche en avant à raison de deux (ou trois, éventuellement) numéros par semaine.
Ce n'était pas l'idée de départ mais j'en suis arrivé à me mettre dans la situation (si ce n'est dans la peau) d'un feuilletoniste sommé de rédiger coûte que coûte ses deux pages par week-end. Et qui, quand les circonstances extérieures, quand ses autres activités, littéraires ou non, l'empêchent d'abattre son travail convenablement, doit trouver des subterfuges pour produire tout de même, en temps et en heure.
Mon subterfuge principal est de recycler d'anciens textes (déjà publiés sur Archives ou non), de les recomposer, sans même avoir besoin de les rechercher, de les copier et de les adapter puisqu'il s'agit d'idées sur lesquelles j'ai tellement travaillé qu'elles coulent désormais très rapidement. Et La Montre est mon plus ancien texte, par définition celui sur lequel j'ai le plus travaillé... CQFD. Mes textes sont, de toute manière, déjà bourrés de répétitions (volontaires), quel problème y aurait-il à ce que mes textes eux-mêmes se répètent entre eux ?
Un autre subterfuge pour gagner du temps est, vous l'aurez compris, d'expliquer mes subterfuges...
C'est déjà la seconde fois en quelques numéros de En Retard que je signale - l'honnêteté est la première des exigences que je m'impose - une réutilisation de La Montre. Et c'est sans compter les références directes au texte que j'y glisse de temps à autre. Faut-il dès lors voir dans En Retard une tentative pure et simple de réécriture de ce texte pourtant officiellement laissé de côté il y a quelques mois déjà ?
Ce serait mal comprendre le concept de En Retard. J'expliquerai - ou non - le moment venu - ou un peu après ; pas avant - comment En Retard a débuté, comment je l'ai commencé, où j'ai puisé les idées qui m'ont donné envie de l'écrire, comment le texte puis le projet lui-même s'est trouvé modifié au fur et à mesure de son avancement. Tout cela n'a pas d'importance pour l'instant. En Retard est tout simplement un texte qui doit avancer, aller de l'avant, quelques soient les obstacles - le principal de ces obstacles étant, évidemment, le manque de temps - qui s'opposent à cette marche en avant à raison de deux (ou trois, éventuellement) numéros par semaine.
Ce n'était pas l'idée de départ mais j'en suis arrivé à me mettre dans la situation (si ce n'est dans la peau) d'un feuilletoniste sommé de rédiger coûte que coûte ses deux pages par week-end. Et qui, quand les circonstances extérieures, quand ses autres activités, littéraires ou non, l'empêchent d'abattre son travail convenablement, doit trouver des subterfuges pour produire tout de même, en temps et en heure.
Mon subterfuge principal est de recycler d'anciens textes (déjà publiés sur Archives ou non), de les recomposer, sans même avoir besoin de les rechercher, de les copier et de les adapter puisqu'il s'agit d'idées sur lesquelles j'ai tellement travaillé qu'elles coulent désormais très rapidement. Et La Montre est mon plus ancien texte, par définition celui sur lequel j'ai le plus travaillé... CQFD. Mes textes sont, de toute manière, déjà bourrés de répétitions (volontaires), quel problème y aurait-il à ce que mes textes eux-mêmes se répètent entre eux ?
Un autre subterfuge pour gagner du temps est, vous l'aurez compris, d'expliquer mes subterfuges...
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